Invitation en 4ème semaine de septembre

A l'occasion du serment prêté par les nouvelles recrues à l'étendard des Cents-Suisses, j'organise une fête en 4ème semaine de septembre au Café Procope.

Tous les gentilshommes de Parys, ou presque, sont les bienvenus.

Veuillez vous annoncer auprès de moi afin que je puisse organiser la mangeaille et la godaille.

Messire Lys,

veuillez me compter parmi les personnes invitées à votre fête, bien que je n'aie pas rejoint le régiment des Sans-Suisses

Jean de Lannoy a écrit:

le régiment des Sans-Suisses

Avec Suisses, SVP! Et plutôt deux fois qu'une, ils sont cent!
Et leur fromage, mmmh.

Monsieur Lys,

M'accepterez-vous ?

Mais avec grand plaisir, Monsieur d'Arrachepied ! Avoir parmi ses invités un Capitaine de l'illustre régiment des Mousquetaires du Roy est un grand honneur pour moi.

Au fait, je saisis cette occasion pour vous souhaiter toutes mes félicitations: votre Colonel ne s'est pas trompé en engageant un capitaine de votre trempe ! J'apprécie les gentilshommes dont le caractère est comme du bon acier de Tolède.

Une chose est sûre, Monsieur Lys : maniez votre lame comme vous faites des compliments, et je ne donne pas cher de votre adversaire !

Comptez-moi comme votre convive, donc. Avec tous mes remerciements...

Mon cher Armand,

Je serais plus qu'heureux de vous retrouver au Procop lors de votre reception.

J'espere aussi que vous passerez un bon mois hors de Parys! Vous serez de mes prieres.

Nicolas

Armand Lys a écrit:

A l'occasion du serment prêté par les nouvelles recrues à l'étendard des Cents-Suisses, j'organise une fête en 4ème semaine de septembre au Café Procope.

Tous les gentilshommes de Parys, ou presque, sont les bienvenus.

Veuillez vous annoncer auprès de moi afin que je puisse organiser la mangeaille et la godaille.

Ah monsieur, comme je le disais ailleurs, je ne puis voir votre invitation qu'aujourd'hui... puis-je me considérer honoré par celle-ci à partager votre joie régimentaire ?
SB

Monsieur d'Arrachepied,
Monsieur Tamerre,
Monsieur Berloscuni,

C'est avec plaisir que je prends acte de votre présence lors de la réception que j'organise la 4ème semaine de septembre.

Je vous prie encore de me faire savoir si vous viendrez accompagnés de Zeldée (pour vous, Monsieur Tamerre) et de toute dame qui aura eu l'heur de vous plaire (Fabienne pour vous, Monsieur Berloscuni ? autre dame pour vous, Monsieur d'Arrachepied ?).

D'autres gentilshommes intéressés ?

Veuillez agréer, Messieurs, mes respects.

Armand Lys a écrit:

Monsieur d'Arrachepied,
Monsieur Tamerre,
Monsieur Berloscuni,

C'est avec plaisir que je prends acte de votre présence lors de la réception que j'organise la 4ème semaine de septembre.

et de toute dame qui aura eu l'heur de vous plaire (Fabienne pour vous, Monsieur Berloscuni ?

Veuillez agréer, Messieurs, mes respects.

certes, certes, je vais m'efforcer de venir accompagné...
Merci encore.

Monsieur Lys,

Puis-je inviter ma douce Zeldee a votre fete?


Nicolas

Cher Monsieur Tamerre,

Naturellement ! Venez avec Zeldée. Refuser d'inviter les dames serait un manquement aux règles les plus élémentaires de savoir-vivre et bien que je vienne d'un pays aux coutumes fort rustiques, nous n'aimons pas séparer les amoureux.

Il va de soi que tous gentilshommes qui accepteront mon invitation pourront venir accompagnés de leurs dames.

C'est moi qui régale les dames et leurs amants !

Monsieur,
Récemment démobilisé, j'arrives depuis peu à Parys.
Après plusieurs mois passés dans le Royal Roussillon, je souhaites m'établir à Parys. Malheureusement, je ne connais pas grand monde et je penses que votre fête sera l'occasion de rencontrer le Tout-Parys.

Pierre Boule, jeune démobilisé

Monsieur Boule,

La présence d'un héros de guerre tel que vous honorera assurément ma réception.

Permettez seulement que je vous pose une question: pourquoi souhaitez-vous vous enrôler dans les Compagnies Franches de la Mer ? Savez-vous que le régiment auquel j'ai l'insigne fierté d'appartenir ne peut pas souffrir les soldats des Cies Franches de la Mer ?

Je ne sais si je vous rends service en vous ouvrant les portes de ma réception. Si cela s'apprend, je crains que cela ne soit préjudiciable à votre engagement.

Je suis honnête homme et ne me sens pas l'âme querelleuse. Aussi ai-je souhaité vous prévenir à l'avance que j'ai organsié cette fête à l'occasion du serment prêté par les récentes recrues Cents-Suisses à la bannière du régiment. Il est vrai cependant que tous les gentilshommes de Parys - ou presque - sont les bienvenus.

Bien à vous,

Armand Lys a écrit:

Permettez seulement que je vous pose une question: pourquoi souhaitez-vous vous enrôler dans les Compagnies Franches de la Mer ?

La réponse est simple. C'est le seul qui se base sur la compétence et non la notoriété (ou devrais je dire la bourse) pour faire son recrutement. J'ai eu le droit à des "Monsieur 'de' Boule, vous savez,il faut justifier ses quartiers de noblesse jusqu'à Charlemagne pour rentrer chez nous". Que voulez vous que je réponde ? Que pour ma part, je gagne mes médailles au front et non dans les salons ?

Votre dévoué serviteur

A la bonne heure !

Je ne connais personne qui gagne ses médailles dans les salons. On y fait assurément de gracieuses rencontres; mais il faut donner de sa personne en régiment pour voir ses actions récompensées.

Mais puisque la guerre seule semble vous importer, vous ne serez pas le bienvenu au Café Procope en 4ème semaine. Avec ce que vous avez dit sur tous les membres des régiments autres que le vôtre, votre présence constituerait une insulte pour mes invités.

C'est bien ce que je craignais. D'un côté il y a ceux qui payent de leur personne 'au front', et de l'autre ceux qui payent de leur personne dans les alcoves.

Que répondre face à une insinuation démentie par les faits ?

Je veux être le témoin.

Quoi ? Il n'y a pas encore de duel ?

*ronchonne* soit j'arrive chaque fois trop tard ou chaque fois trop tôt ...

S'il est encore temps, je me joindrais bien à vous, si vous acceptez des non-militaires...

Cher Monsieur François,

C'est avec plaisir que je vous recevrai Tanaïs et vous !

Monsieur Lys,

Je serai des vôtres si tel est votre bon plaisir! Peut-être avec une jeune demoiselle si celle-ci consent à me recevoir dans son alcôve.

Vous êtes le bienvenu, Monsieur Paspoil. Et je donnerai l'ordre à mon valet de considérer toute dame qui souhaitera vous accompagner comme étant également mon invitée.