Disgrace

Messieurs les Gentihommes de Paris,
J'ai recu vos nombreuses lettres et les ai lues quelque part au front sous la pluie et dans la boue, au service de Sa Majeste pour lui montrer que je ne suis pas ce qu'un certain ministre corrompu et intrigant à réussi à le persuader sur ma personne.

Hélas je ne pourrai me joindre aux divers festivités auxquelles vous m'invitates ce mois. Et trois fois hélas, sa majesté à justement choisi le mois ou je fus écarté pour tenir sa réception... Destin funeste!

Bonne chance à tous,

Sieur Latine,

Soyez assuré que vous êtes sur le point de rentrer dans mes bonnes grâces. Sans cet apport financier que vous m'apportâtes le moys décembre, il me fût point possible de tenir cette fête. Je compte d'ailleurs sur vous pour me faire parvenir les quelques sommes manquantes pour payer toutes les bonnes gens qui prépareront les victuailles royales.

Louis-Denis Ier, Le Roy

Sire, soyez bien assuré que j'irai chercher la somme manquante jusque dans les bas de chausses des espagnols!

Ce mois-ci,
j'étais en RR et je dois avouer avoir fait plutot une bonne prise...
Ce mois-ci, j'irai bien à la Reception Royale...

Salutations Nicolas,

Zeldée, vous a quitté. Avez vous l'intention de la reconquerir ?
Elle est belle ! A défaut, je pourrai être tenté.
Mais en ce cas, je vous laisserai la place.

Amicalement votre,
Alexandre

Sire j'ai effectivement trouvé une somme coquete dans les bas de chausse d'un marchand espagnol a la solde de l'ennemi. Je vous ai fait parvenir les 150 cr en question. Je serai donc présent à votre aimable invitation de ce mois.

Voilà une nouvelle qui devrait faire plaisir à Marie-Thérèse, Infante d'Espagne.

Sire,
La réception fut fort plaisante je vous en remercie.
Hélas ce mois ci est bien triste sans l'une de vos réceptions, aussi je quitte Paris pour aller sur la frontière et préparer l'arrivée de l'armée dans quelques mois.

Votre gentilhomme
Major Roger Latine